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 oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé

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one_less
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MessageSujet: oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé   oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé I_icon_minitimeMar 12 Juin 2007 - 13:23

Nom : oneless

Classe : iop 134

Professions : pêcheur 44, poissonnier 43 et sculpteur d'arc 33

Rang : bourreau de la guilde Underworld


Voilà un personnage sans réelle histoire, mais plutôt des « on dit » …

En effet, on raconte que ce iop répondant aujourd’hui au nom d'Oneless, fut mis au monde par une belle et dévouée guérisseuse qui vivait sur les bords du lac d’Astrub. Sa bonté rappelait, sans conteste, celle même des anges venant tout droit de la cité de Bonta.
Par ailleurs, des vieilles et pouilleuses commères d’Astrub, autrefois servantes au sein de la cité des anges, racontent que la guérisseuse du lac était autrefois une ange dévouée à ses Dieux … Qu’elle fut bannie à jamais de sa propre cité pour haute trahison ! Cependant, ses dires restent à confirmer lorsque l’on connaît la « véracité » des langues de commère.
Certains très Anciens comme Ozen, les Sages les appelle t’on, murmurent que cette guérisseuse fut en effet condamnée à l’exile … Mais que « la pomme fut mal tranchée » comme ils le disent … Lorsque l’on s’attardent sur le sujet, les Sages peuvent parfois vous racontez que la guérisseuse du lac fut violée par un grand guerrier brâkmarien lors de la dernière véritable « grande invasion des démons » au sein même de la cité des anges. Après cet épisode dramatique inscrit à jamais sur les vestiges de Bonta, et étant donné que la guérisseuse allait donner vie à un « fils de démon », les Dieux décidèrent donc de lui couper les ailes et de la maudire, elle et son prochain, jusqu’à l’éternité en lui prédisant une mort certaine lorsque l’épiderme du nouveau né effleurera sa peau.

Orphelin de naissance donc, Oneless aurait été élever par le Gardien de la prison d’Astrub dit-on … Ce sont d’anciens malfrats et autres hors la loi qui auraient partagé le quotidien du jeune bambin. D’ailleurs, on décela rapidement un côté obscure dans son comportement … Une « part de démon » comme peut s’exclamer un grand renégat de renom multirécidiviste du nom de Zatoïshwan, enfermé à perpétuité, dès lors qu’il parle d’Oneless …
Le Gardien de la prison décide de mettre le jeune à la porte ... Qui sait, peut-être pour le protéger et le tenir éloigné de toutes sources négatives ?

Et pourtant, à Astrub, Oneless grandi en gardant en mémoire les contes élogieux des habitants envers sa défunte mère. C’est ainsi qu’il fait ses premières classes d’armes, en espérant devenir aussi bon que sa mère qu’il rêve sans cesse.
Rish Claymore, grand Maître d’armes de tout disciple de Iop remarque chez lui une hargne au combat hors normes et décide de le prendre sous son aile. Mais ce qui fut dans un premier temps une qualité devint rapidement une inquiétude chez le grand Maître …

Les saisons s’écoulent et Oneless est désormais assez grand. Son visage s’est dessiné, mais le dessin est glaçant … D’ « un froid que seule la mort apporte » comme disent certains de ses anciens proches. Pourtant, tel le temps qui va et la direction du vent, son visage parfois change … Ses yeux peuvent quelques fois réfléchir une bonté qui nous rappellera à tous, sa mère.

A Amakna, les ivrognes fustigés aux chaises des séduisantes Laura Soho et Linda Malibou, traduisent Oneless en parlant de double personnalité et qu’il serait aussi fou que le pire des pochtrons. Tandis que les experts, bontariens comme brâkmariens, nous parlent d’un iop à la volonté d’honorer sa mère mais à la cruauté d’un démon digne de ce nom.

De part et d’autres, on dit que quelques mercenaires auraient un temps traqué Oneless … En effet, certains auraient reconnu la silhouette d’Oneless dans les coins sombres du Monde des Douze entrain de « désosser » quelques innocents pour assouvir ses pulsions obscures … Manque de preuve, cette traque fut annulée (quelques espions en herbe d’Amakna laissent courir la rumeur que le Gardien de la prison d'Astrub, qui n’est autre que l’homme qui a élevé Oneless, aurait détruit les quelques preuves).

Et c’est un jour, lors d’une chasse aux prespics, qu'oneless rencontra une charmante sacrieuse du nom de Liloump. Celle-ci remarqua la cruauté de ce iop, c’est pourquoi elle lui proposa de le recruter et de devenir Bourreau de sa guilde. En effet, quelques éléments perturbateurs à la conquête des droits et du pouvoir au sein de la guilde, nuisaient à l’entente cordiale intra guilde.

C’est ainsi, après vive réflexion, qu’Oneless entra au sein de la guilde Underworld en tant que Bourreau sans pitié et sans scrupule …
En sanctionnant sans état d’âme, ce iop arrive finalement à canaliser son côté obscure et par conséquent, il arrive à parvenir à ses Quêtes : honorer sa défunte mère et honorer Underworld.

Quelquefois, Oneless pêche aux bords du lac d’Astrub, lieu où vivait sa mère … il y reste des jours entiers afin de se ressourcer en bonté. Parfois, Kana Petch lui rappelle que sa mère était une véritable brave … Une brave comme on en trouve si peu … D’une bravoure que Kana Petch n’hésite pas à comparé avec celle de Liloump …

Malgré le caractère lunatique et solitaire d'Oneless, celui-ci reste un compagnon fiable.

De temps à autres, il retourne saluer le Gardien de la prison en lui ramenant un renégat ...


Dernière édition par one_less le Lun 5 Mai 2008 - 22:28, édité 2 fois
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one_less
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MessageSujet: Re: oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé   oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé I_icon_minitimeMar 23 Oct 2007 - 12:09

Et voilà que peu à peu le soleil se dissimule à l’horizon … Et peu à peu, l’obscurité qui se répand ça et là… Bientôt, un dernier rayon de soleil se glissera sur les paysages tel un signe qui nous rappellera qu’une nouvelle journée s’achève.
Une journée de trop ? Ou une journée de moins ? Qu’avons-nous accompli en ce jour ? De la routine dois-je me complaire ? Carpe diem … Je me contenterai, aujourd’hui encore, de ce qu’il me reste : mon fils de huit ans, Kaji.


« Mon fils ! Descend de la haut veux-tu ?! Et viens donc m’aider à ranger mes faux et à transporter nos sacs de blé.
- Oui mère ! Je termine juste de casser quelques branches de frêne et je descends !
- Rhaaalala … Tu es bien le fils de ton brave père …
- En effet chère mère, je ferais de ses branches mes premiers arcs ! J’ai déjà tout imaginer ! Il ne me reste plus qu’à trouver une bonne pelote de fil de lin.
- Je crois que tu as encore beaucoup à apprendre sur le métier qu’exerçait ton père … Peut-être, de tes branches, pourras-tu en faire des lance-pierres ?
- Non mère ! Vous savez ? J’ai élaboré de nombreux schémas qui me permettrait de … Ouah ouah !
- Attention ! »


BOOM ! Sa descente aura été plus rapide que prévu … Je le vois qui se relève en grimaçant. Il se dépoussière jusqu’à derrières ses oreilles pointues. Quel enfant, c’est un sacré numéro ! Mais il m’apporte, sans conteste, une joie et une force qui me font tenir debout chaque jour que les Dieux font. Son innocence me réchauffe le cœur et me fait encore croire à une petite chance cachée sous une pierre … Une petite chance qui pourrait sauver notre monde, le Monde des Douze.

« Kaji, il est l’heure … Rentrons vite avant que la cité blanche ne sonne le couvre-feu.
- Oui m’man ! Euh … Pardon. Euh … Oui mère, je vous suits.
- Charge toutes les céréales sur Smith, ta dragodinde. Et monte sur Wesson … Je marcherai.
- Non mère. Je suis fort maintenant ! Touchez mes muscles. Et je cours très vite !
- Ecoute moi donc, et tais toi.
- Bien mère … »


En effet, depuis quelques nuits déjà, sur les plaines de Cania s’abattent d’étranges éclairs d’une violence extrême. Bonta reste aux aguets, mais semble rester laxiste sur ces phénomènes mystérieux … Laxiste comme pour gérer ce conflit qui dure depuis, maintenant, bien trop longtemps … Tant de morts dans nos rangs, tant de morts chez nos ennemies … Nos plus jeunes anges sont envoyés au front. Ils s’exécutent aux ordres, s’adonnent à leurs tâches et bien souvent ne reviennent jamais … A qui profite réellement cette guerre ? Certainement pas au peuple …
Ô mon époux, c’est horrible comme tu me manques … Cette guerre ne nous aura pas épargnés. Mon chagrin, parfois, me semble insurmontable. Je continue de vivre, là, sans toi à mes cotés. Et pour notre fils, mes yeux ne pleure plus, ou peu. J’essaie au maximum d’être forte et de le couver dans son innocence. Pourtant, mon cœur saigne et la plaie reste grande ouverte. Il ne se passe pas un jour où je ne pense pas à toi. Ta chaleur me manque … Parfois, au petit matin, lorsqu’un rayon de soleil transperce nos volets délabrés et se pose sur ma peau, cela me rappelle tes caresses. Et j’ai comme l’impression que tu es là, avec moi. C’est fou, mais j’aimerai que cela dure éternellement … J’espère que de là où tu es, tu veilles sur nous … Ton fils grandi bien et tu serais certainement fier de lui. De par ses propres choix, je le vois marcher sur tes traces. Je remercie les Dieux de pouvoir, tous les matins, me réveiller en sa présence. Il m’apporte tout l’amour dont j’ai besoin. Il me donne la force et l’envie … Mais, je ne pourrai jamais combler ce vide et chaque jour, j’ai peur du lendemain … Alors j’espère et je prie. Notre fils et la foi, c’est tout ce qu’il me reste.


« Mère, il commence à pleuvoir …
- Deux secondes que je retire ma guenille … Voilà, mets la donc sur tes épaules.
- Mère ? Puis je refuser ?
- Biensûr que non ! Regarde donc imbécile, il pleut des cordes là ! Prends la …
- Mère ? Pleurez- vous ?
- Prierais-tu Iop ? Il pleut, non ?! Ce sont des gouttes de pluie et non des larmes !
- Oui mais vos yeux …
- Mes yeux vont bien, merci ! Fin de la discussion. Rentrons vite ! »


Après une longue marche, nous voilà arrivés à la cité des anges. Un peu au même moment, les sirènes du couvre-feu retentissent et les portes se ferment. J’aperçois quelques amis chasseur à mon époux …

« Bien le bonsoir madame. Salut p’tit !
- Bonsoir à vous, vous rentrez d’une chasse ? Mais je vois que vous êtes bredouilles …
- En effet, depuis l’aube nous chassons le kani, mais étrangement nous n’en avons aperçu aucun.
- Etrange en effet … Et bien, je vous souhaite une bonne soirée à tous messieurs.
- Voulez-vous un coup de main pour décharger vos sacs ?
- Merci bien, mais ça ira pour cette fois.
- Rentrez bien, et si besoin, n’hésitez pas à venir déranger ma petite femme Rosette. Bonsoir. »


J’ai la chance d’avoir un mari qui a su se créer de réelles amitiés. Pas mal de ses « frères », comme il aimait les appeler, me proposent leur soutien … Mais je tâche de faire face aux soucis quotidiens avec mes propres moyens. Cependant, je sais qu’en cas de réel besoin, je pourrai toujours toquer à leur porte.

Voilà donc une soirée banale qui commence … Qu’est ce que l’on est bien chez soit …




BROUUUuuu … BROUUUuuu …

Ho ! Je me réveille en sursaut. Encore ces éclairs qui frappent sur les plaines … Qu’est ce que cela peut-il bien être ? La fréquence des éclairs, à y écouter plus attentivement, me rappelle bizarrement les cris d’un enfant en sanglot. Peut être est ce mon humeur mélancolique qui y fait, mais ces éclairs me semblent tel un cri de souffrance …
Rapidement, je jette un coup d’œil sur mon fils. Il dort comme un bébé. L’insouciance est peut-être un bon oreiller … Et si demain je partais à l’aventure au lieu de faucher, faucher et refaucher … C’est décidé, demain, c’est chasse au kanis ! Et ce sera l’occasion idéale pour montrer à mon fils que sa mère est, ou a été, une combattante hors paire ! Je prépare le matériel et je file à ma couche.





« Kaji … Kaji …
- M … Maman ? Mère ?
- T’es-tu assez reposé mon fils ?
- Euh … Pourquoi donc ?
- Aujourd’hui, c’est journée chasse au kanis. Si tu veux venir m’y accompagner …
- Ouais !!! Tu vas voir, je peux me battre aussi ! Je vais …
- Fils ?
- Oh … Pardon mère. Je ne voulais pas vous tutoyer … Je me suis laissé emporté par la joie.
- Ce n’est pas grave mon fils … Prépare toi, je prends quelques vivres et prépare les dragodindes.
- Très bien mère ! Et … Euh …
- Oui mon fils ?
- Et bien … Euh …
- Je t’écoute …
- Maman je t’aime !
- …
- Pardonnez moi mais c’est ce que je ressens.
- Approche … Plus … Plus ! Viens dans mes bras … Je t’aime aussi mon fils.
- Mère ? Voulez-vous un de mes arcs pour chasser ?
- Tu me feras toujours rire … J’ai retrouvé mon arc en cherchant un peu cette nuit dans un vieux coffres. Mais merci de ta proposition.
- Mère ? Savez-vous combattre ?
- Tu verras bien … »


Nous voilà partis ! En route vers les plaines de Cania. Je saisie mon arc, un arc sculpté par mon époux il y a de cela plusieurs années maintenant. Dessus, des proverbes ont été gravés … Hélas, ils se sont effacés avec l’usure. Cependant, j’arrive à en déchiffrer un : Milles maux pour un bien. Je médite sur cette gravure … Et il est vrai qu’à chaque fois que mon fils me sourit, c’est une aumône qu’il m’offre et je serai prête à subir mille souffrances pour le voir sourire.

« Les chasseurs disaient vrai … Aucun kanis à l’horizon … Par contre, les plaines ont bel et bien subi de violents éclairs.
- A quoi ressemble un kani, mère ?
- Je ne saurais les décrire … Espérons qu’on en croisera !
- Mère ?
- Quoi encore ?
- C’est ça un kani ?
- Quoi, ça ?
- Là-bas … »


Là-bas se dressait un individu, vêtu de noir … Etrange. Il était debout au milieu des plaines, sans bouger … Une bonne partie des hautes herbes était brûlée, les quelques bois avaient disparu du paysage … Les éclairs ont vraiment causé de gros dégâts. Les kanis ont certainement fuient les lieux.

« Reste ici, je vais aller voir ce qu’il se passe …
- Mère, attention …
- Ne t’en fais pas … »


Je m’approche donc de cet étranger … À quelques mètres de lui, Wesson ne veut plus avancer. Je regarde le sol et celui-ci n’est que braise … Je descends de ma monture, et en effet, le sol est encore brûlant …Plus je m’approche de lui et plus l’air devient chaud et insupportable à respirer. Je tente quand même de l’interpeller … Mais aucune réaction de sa part, il a l’air figé.
Cela m’intrigue, je ressens une sensation proche de la peur. Je saisie donc mon arc … Et à ce moment précis, il réagit ! Il ouvre les yeux et que vois-je ? Des yeux d’une couleur rouge sang ! Et voilà une goûte de ce liquide rougeâtre qui coule, puis deux … Mais non ! Ce ne sont pas des goûtes, mais des larmes qui roulent sur ses joues … Des larmes de … De sang ?!
Mais quel mal touche cet être ? Soudainement, d’un éclair, il frappe le sol à quelques pas de moi … Juste assez pour me faire chuter assez violement. Je reprends mes esprits et me relève. La lueur de ce micro éclair était de la même lueur que les violents éclairs de ces dernières nuits. Est-ce lui, sa souffrance, qui gronde sans cesse toutes les nuits ?


« Kaji ! Je t’interdis de bouger ! Est-ce clair ?
- Mais mère !
- Interdiction !
- Très bien … »


À mon tour, je pointe une de mes flèches vers cet individu. Celle-ci est prête à être tiré … Je vise son épaule droite … Hein ? Que fait-il ? Il … Il a l’air de … Et tout à coup, soudainement il bondit devant moi ! Je suis surprise, je me rends compte que je n’ai plus mes réflexes d’autrefois … Il saisie mon arc, mais je ne veux pas lâcher prise. C’est alors que, bizarrement, il penche mon arc et pointe ma flèche contre sa poitrine. Et plus précisément son cœur. Je peux voir une croix sur sa tunique, signe de tout Iop qui se respecte …
Mais que lui arrive t’il ? Je me sens dépassée par les événements … L’air devient pénible à respirer tandis que sa main brûle le bois de mon arc …


« Tirez !
- Mais …
- Tirez vous dis-je !
- Je ne peux …
- GRRRrrr …
- Je vais vous aider, que puis-je ?
- Visez en plein cœur !
- …
- Par pitié … »


Vous êtes vous déjà retrouvés dans une situation dans laquelle vous ne maîtrisiez rien ? Ni événements, ni émotions, ni même votre corps … Les mains et la voie qui tremblent alors que vous tenez absolument à rester de marbre. Que faire des lors qu’une source extérieure à vous-même vous pousse à la faute ? Devez-vous enfreindre vos principes ?
Je ne suis ni agressive, et encore moins une meurtrière. Mon fils est là et me regarde. Je ne dois pas fauter. Mais cet homme, là, devant moi me terrifie de par ses propos et par la violence qu’il dégage de son âme.

Mais … Mais que vois-je ?

C’est alors qu’il se met à genoux devant moi … Ou plutôt qu’il s’écroule ! Là, je vois ses ailes se recroqueviller … Ce sont des ailes d’anges ! En y regardant de plus près, je vois que sa chair est brûlée ! C’est immonde, sa chair … Elle bouillonne !


« Que vous arrive t’il ? Vos ailes ? Votre chair ?!
- Arggg … Ces ailes d’Ange … Un véritable enfer !
- Comment ?
- Mon sang me ronge ! »


Comment un être dégageant une aura aussi démoniaque peut il porter des ailes d’anges ? J’ai comme l’impression qu’il lutte contre lui-même … Je vois là un ange qui lutte contre son côté opposé. C’est bien la première fois que je vois cela.
Je me sens tel une incapable, restant là, dressée devant cet homme agonisant devant moi … Que faire ?


« Transpercez mon cœur ! Arggg …
- …
- Allez-y, ou bientôt vous et la chair de votre chair périrez sous mes coups …
- Comment ?! »


À ce moment précis, il dégaine une épée. Je peux lire le mot : Underworld qui y est gravé sur la lame. Assez vite, je me rends compte qu’il n’est plus le seul à combattre contre son autre lui … Une part de moi me crie de l’aider. Cet homme souffre d’un mal, certes il doit être aidé. Cependant, une autre partie de moi me chuchote de l’abattre pour nous protéger suite à ses menaces.
Et brusquement, le voilà qui se relève … Son mal a l’air de s’être apaisé un minimum. Et pourtant, je me sens plus en danger que jamais. Je jette un coup d’œil derrière moi, mon fils est là. Je vois l’inquiétude sur son visage … Voilà une expression qu’il ne m’avait encore jamais montré. Peut être était-ce une erreur de venir ici … Je dois absolument nous sortir de là !
Je sens la puissance maléfique du Iop se décupler ! A cet instant, j’ai peur ! Désormais, une grande part de moi me hurle de l’abattre sur le champ …
A mon tour, je me bats donc contre moi-même, qui suis-je réellement ? De quoi suis-je capable ? Serais-je prête à assumer certaines conséquences ? Je suis là, seule. J’ai besoin d’aide, de quelqu’un qui puisse éclairer ma lanterne. Que dois-je faire ?

Et là, c’est comme si le temps se figeait … Vous êtes vous déjà retrouvé dans cette situation ? Chacun avec son libre arbitre du bien et du mal, avec ses principes, avec ses émotions … Vous êtes là, avec deux choix qui s’offrent à vous … Deux chemins différents … Un allé pour le Mal et un allé pour le Bien … Que faire ? Chacun décide et devra assumer ses faits et gestes. Certains choisissent le mauvais chemin tout en sachant les risques, d’autres n’osent pas et préfère rester sur le droit chemin.

Dans mes pensées, le temps n’est plus un paramètre que je prends en compte. Peut-être qu’une minute s’est écoulée … Et en une minute, j’ai revu le film de ma vie … Une minute, ça peut incontestablement durer une éternité. Imaginez-vous, une minute entrain de suffoquer … Une minute d’une femme se faisant violer … Une minute de trop pour un nouveau-né emprisonné dans les entrailles de sa mère, son destin est qu’il ne verra jamais le jour … Une minute d’un brave guerrier contre une meute de Meulous … Une minute d’un renégat en pleine pendaison …
Mon choix a été fait et je m’en remets à Crâ. Une minute face à face avec votre futur bourreau, qui sera aussi celui de votre enfant, vous imaginez ?




Ô mon amour, nous voilà enfin réuni dans un monde meilleur. Regarde ton fils courir à travers ces champs de fleurs, il est rapide comme une flèche … Serre nous fort dans tes bras, tu nous as terriblement manqué.
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MessageSujet: Re: oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé   oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé I_icon_minitimeDim 27 Jan 2008 - 0:48

je suis sur que je te bat en rp....
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MessageSujet: Re: oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé   oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé I_icon_minitimeDim 10 Fév 2008 - 23:10

Waaa la flemme de tout lire mais ça à l'air pas mal comme rp Wink et kororo, il te bat en rp en se regardant dans le mirroir Wink
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MessageSujet: Re: oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé   oneless, le Bourreau des coeurs ... héhé I_icon_minitime

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